Présentation
Au début des années 1990, avec le succès des consoles NES et Super Nintendo, la société Nintendo domine le marché mondial du jeu vidéo, malgré la compétition effrénée que lui livre Sega.
L’émergence du CD-ROM a amené Nintendo à conclure un partenariat avec Sony pour que celui-ci développe un lecteur de CD pour la Super Nintendo, le SNES-CD plus connue sous le nom de Nintendo PlayStation, afin de concurrencer la PC-Engine de NEC et le Mega-CD de Sega.
Mais un différend amène Nintendo et Sony à abandonner leur projet commun, que Sony recycle alors pour développer sa propre console, la PlayStation. Nintendo se tourne alors vers la firme néerlandaise Philips pour poursuivre son projet.
L’annonce de la PlayStation en 1991, ajoutée aux échecs du Mega-CD de Sega et du CD-i de Philips, persuade alors Nintendo d’enterrer définitivement l’extension CD-ROM de la Super Nintendo et de se tourner vers le développement d’une toute nouvelle console.
Fiche technique
- Fabricant : Nintendo
- Année de sortie : 1996
- Quantités vendues : 32.93 millions
- Meilleur jeu vendu : Super Mario 64
- Co-processeur : 64-bit MIPS RISC « Reality Immersion » RCP @ 62.5 MHz
- RAM : 4 MB RAMBUS RDRAM (modifiable pour 8 MB)
- Processeur : 64-bit NEC VR4300 @ 93.75 MHz
- Puce sonore : Stereo 16-Bit et 48 kHz
Le mapping dans pixL
Pour les émulateurs libretro
Le mapping proposé pour les manettes récentes (xbox, ps, etc..) est le suivant:
Mais pour les manettes de N64 (Avec adaptateur, USB ou celle de la Switch), la mapping est ainsi:
Dans le cas d’une manette de 64, pas de X ou Y, dans ce cas, pixL va remapper B sur Y automatiquement pour être en phase avec la conf par défaut de retroarch.
Dans le cas de certaines manettes de Nintendo N64 (comme celle d’origine), il n’y a pas vraiment de hotkey donc pour aider à sortir des jeux avec ce type de manette, on peut faire START + B pour sortir de l’émulateur N64 de Libretro dans pixL 😉
Émulateurs Libretro
Émulateurs standalone
Mupen64plus GLide64MK2
Mupen64plus RICE